Ajouté le 5 déc. 2021
Certaines de mes photographies sont disponibles à la Galerie ABLA ABABOU du mardi au samedi de 15h à 19h. Avenue Mehdi Ben Barka à Rabat. Tél. 05 37 65 33 66
Ajouté le 25 avr. 2018
* 13 mai 2014 Invité de la matinale de Chaine Inter animée par M’hamed BHIRI et Asmae Said à l'occasion de la parution du livre "Autour des Ftours -Chroniques de la rupture du jeûne"
La matinale de Chaîne Inter est le rendez-vous de l'information, des chroniques politiques et des informations de service. L'équipe des matinales de chaîne Inter décortique l'information et l'actualité nationale et internationale. Les matinales de chaine inter : l'essentiel de l'information en continue sur chaîne Inter chaque jour de 06h00 à 09h00.
* 17 septembre 2008 L'Economiste Culture
«Nuit des galeries» à Rabat ce vendredi
Une douzaine de galeries ouvertes au public de 21h30 à 1 heure du matin. La troisième édition de la «Nuit des galeries» est prévue vendredi 19 septembre. Ce parcours artistique nocturne, organisé par l’Institut français de Rabat et le ministère de la Culture, consiste à ouvrir aux visiteurs une série d’espaces artistiques pendant plusieurs heures, de 21h30 à 1 heure du matin. L’objectif, indique Nafissa Fellah, responsable communication au sein de l’Institut, est d’offrir aux R’batis l’occasion de se balader de galerie en galerie et de découvrir tout au long de la soirée de nouveaux espaces d’expression artistique et des artistes connus ou à découvrir. «La plupart des galeries participantes vont organiser des vernissages d’expositions et proposeront des buffets dans une ambiance conviviale et festive», explique Nafissa Fellah. De nouveaux lieux d’expositions ont répondu présent cette année. Il s’agit des galeries Mohamed El Fassi, La découverte, Bab Rouah, Bab El Kébir, Marsam, Nouiga, l’appartement 22, le Goethe Institut, le centre autrichien d’information, la Villa des Arts de Rabat, l’Institut Cervantès, l’espace culturel de l’ambassade de Croatie et l’Institut français de Rabat. Ce dernier prévoit ce soir-là un vernissage à l’occasion de l’ouverture d’une exposition de Philippe Picquart, intitulée «Le temps du Ramadan, chroniques d’une rupture». Trente jours durant, le photographe a suivi en images l’histoire d’un mois de Ramadan axé sur ce repas rituel, qu’il a partagé avec des familles mais aussi avec des personnes sur leur lieu de travail ou encore dans des institutions. Il présente aussi une exposition sur les mémoires urbaines. «Ce qui a guidé ma réflexion, ce sont les murs construits par l’homme, délaissés, taggés, salis, peints, achevés, inachevés…», explique Philippe Picquart.
Ajouté le 24 avr. 2018
Mars-Avril 2019 Exposition personnelle "Maroc/S - Semaine de la Francophonie - Centre d'Art Africain - Oslo
Embassy of the Kingdom of Morocco in Norway and Iceland
27 mars ·
Francophonie Festival is still on! Tuesday 26 Mars, the Embassy of the
Kingdom of Morocco in Oslo celebrated diversity and openness to pluralism by
presenting the work on Morocco of the French photograph Philippe Picquart,
MAROC/S, at the African Cultural Center.
The artist explained why he choose black an white to reveal the beauty and the
immensity of the Moroccan Landscapes, especially the desert, with touches of
color to give the picture a graphic dimension.
Many thanks to a dynamic and curious public ready to exchange on the emotional
and sometimes surprising impact of the photos
MAROC/S
African Cultural Center
March 26-April 13, 2019
Free entrance.
OPENING OF THE EXHIBITION: Morocco /s
26. mar. 2019 | 18:30 | CAK AFRIKANSK KULTURINSTITUTT
Welcome to an exhibition of black and white
photos of Morocco, with a yellow graphic work, of the French photographer
Philippe Picquart.
Hosted By the Embassy of the Kingdom of Morocco in co-operation
with CAK African Cultural Institute
Vernissage à Oslo de l'exposition "Maroc/S"
MAP [27/03/2019]
L'exposition photographique Maroc/S du Français Philippe Picquart a été inaugurée mardi soir au Centre culturel africain à Oslo, en présence de diplomates et de personnalités du monde de la culture et de l'art.
MAP |
Vernissage à Oslo de l'exposition "Maroc/S"
Oslo - L'exposition photographique
"Maroc/S" du Français Philippe Picquart a été inaugurée mardi soir au
Centre culturel africain à Oslo, en présence de diplomates et de personnalités
du monde de la culture et de l'art.
Cette exposition, installée dans le cadre du Festival de la Francophonie (19-29
mars), regroupe une vingtaine de clichés où prédominent le noir et le blanc
avec un travail graphique jaune, par lesquels l'artiste cherche tout d'abord à
montrer sa vision d'un Maroc peu connu du public, parfois des Marocains
eux-mêmes, un Maroc fait de sites oubliés, de bâtiments abandonnés...
Un patrimoine naturel ou architectural témoin du passé des régions du Royaume,
de leur histoire, de leur rayonnement culturel, parfois d'une présence
étrangère. Car il s'agit aussi au travers de ce travail de parler "de
rencontres étonnantes ou bouleversantes, d’échanges singuliers ou
extraordinaires". Le voyageur sait, pour peu qu’il sorte des villes et des
circuits touristiques et qu’il empreinte les chemins de traverses, qu’au Maroc
il n’est jamais seul.
"Mon parti pris est de donner à voir des photos, en noir et blanc, d'un
Maroc très coloré auquel le public est habitué et qu'on aime tous autant",
a confié dans une déclaration à la MAP Philippe Picquart, qui est installé à
Rabat depuis le milieu des années 2000.
Il a expliqué que "l'idée n'est surtout pas de montrer un Maroc
délabré" mais qu'il s'agit de son approche artistique surtout lorsqu'on
sait que l'artiste a "un gout particulier" pour ces endroits abandonnés,
ces vieilles usines.. à deux doigts de la démolition, à l'instar de cet ancien
sanatorium antituberculeux de Ben-Smim, près d'Azrou, qui a été construit sous
le protectorat français mais qui a fini par être abandonné.
Le photographe français intègre la couleur dans son travail et donne une
dimension plus graphique à l'image d'origine. Ces différentes traces jaunes en
fonction de leur forme et de leur positionnement apportent lumière, énergie et
modernité à la photographie. Elles orientent le regard du spectateur en lui
ouvrant d'autres horizons, suggèrent la force des personnages et révèlent la
beauté ascétique des lieux.
"Ces photographies peuvent paraitre très tristes pour certains, car elles
représentent des endroits un peu délaissés, mais sur lesquelles j'ai incorporé
un fragment d'une seconde photographie, dans un jaune fluo, pour donner une
puissance à la photographie, un aspect très graphique, de l'espoir, de la
lumière", a-t-il expliqué.
D'après l'ambassadeur du Maroc en Norvège, Lamia Radi, cette exposition qui a
déjà été présentée en Afrique et en Europe s'invite pour la première fois en
Scandinavie à l'occasion du festival de la Francophonie en vue de célébrer la
diversité culturelle et le vivre ensemble, compte tenu du partenariat "stratégique
et exceptionnel" entre le Maroc et la France.
S'agissant du travail du photographe, elle a indiqué que Philippe Picquart se
focalise "sur le contraste entre la nature, les grands espaces et l'être
humain, ce qui l'a d'ailleurs le plus fasciné au Maroc", précisant que
l'artiste a essentiellement travaillé sur ce paradoxe dans les régions du sud
du Maroc.
A travers cette exposition, selon la diplomate, il est aussi question "de
montrer aux Norvégiens que nous avons les mêmes notions de l'espace (...) sauf
que le désert marocain est fait de sables et de pierres, et le désert norvégien
est fait de glaces".
"Au-delà de nos différences culturelles, nous avons des points en commun.
Nous sommes deux peuples qui avons grandi dans des espaces géographiques et
naturels, aussi gigantesques et immenses, hors du commun", a-t-elle
poursuivi.
Le travail photographique de Philippe Picquart est né de ses déambulations au
cœur des villes. Paris, New York, Berlin, Riga, Belfast, Manille, Hanoï, Dakar
ou Bamako, les murs sont les sources de son inspiration. Son regard souligne la
poésie de murs condamnés à la démolition en même temps qu'il fixe les traces
d'histoires humaines.
Cet artiste nomade est également l'auteur du livre de photographies
"Autour des Ftours - chroniques de la rupture du jeûne", paru en
2014.
Organisée par l'ambassade du Maroc en Norvège en collaboration avec le Centre
culturel africain, l'exposition "Maroc/S" se poursuit jusqu'au 13
avril à Oslo. Elle sera présentée en avril en Grande-Bretagne avant de
s'installer de nouveau au Maroc en juin avec d'autres photos de la même série.
Octobre-Novembre 2018 Exposition personnelle "Maroc/S - Festival Visions d'Afrique - Marennes et Saint-Pierre d'Oléron
Visions d’Afrique : films et hommages
A La Une Saint-Pierre-D'oléron
Sud Ouest Publié le 16/10/2018 à 3h54 par Corine Pelletier.
Les 9e Rencontres cinématographiques Visions d’Afrique se dérouleront du 17 au 23 octobre à l’Eldorado de Saint-Pierre-d’Oléron et à l’Estran de Marennes. Une partie du programme est consacrée à un hommage au premier cinéaste d’Afrique noire, Paulin Soumanou Vieyra, une autre au cinéaste burkinabé Idrissa Ouédraogo, invité de 2015, décédé le 18 février dernier.
Visions d’Afrique a en effet décidé de participer à l’hommage international rendu à Paulin Soumanou Vieyra, disparu il y a 30 ans, en projetant plusieurs de ses courts-métrages. Concernant Idrissa Ouédraogo, « Yaaba » (1969), l’un de ses films les plus achevés et les plus émouvants, sera au programme de l’Eldorado.
Le cinéma du Burkina Faso, l’un des pôles du cinéma africain, sera célébré au cours de cette 9e édition avec, comme invité d’honneur, le réalisateur Pierre Yaméogo. Cinq de ses longs-métrages seront au programme. Cette 9e édition a aussi comme trait distinctif de mettre le Maroc à l’honneur, avec trois films de cinéastes marocains, dont « Sofia », premier long-métrage la jeune réalisatrice Meryem Banm’barek.
Littérature et photographies
Cette présence marocaine sera en outre renforcée par l’intervention, dans le volet littéraire, de la conteuse marocaine Halima Hamdane et par l’exposition à la médiathèque de Marennes des photos du Maroc de Philippe Picquart. La séance d’ouverture du festival, demain, permettra d’apprécier la musique mandingue de l’orchestre de Issouf Sanou qui précèdera la projection de « Razzia » de Nabil Ayouch.
Pour la clôture, le mardi 23 octobre à l’Estran, les festivaliers auront le privilège de voir ou de revoir le beau film de Marc Allégret sur le « Voyage au Congo » récemment restauré et numérisé, projeté avec l’accompagnement musical de deux musiciens dont Mauro Cocéano, auteur de la partition.
Le festival continue avec une expo de photo du Maroc de Philippe Picquart à la médiathèque de Marennes et de Saint-Pierre d'Oléron, une rencontre littéraire avec Bernard Magnier et Marc Alexandre Oho Bambé, une conférence avec Stéphane Vieyra sur son père, le cinéaste Paulin Soumanou Vieyra
Saint-Pierre-d’Oléron Maghreb, mon beau miroir